Situé en milieu rural dans une commune de 220 habitants, près de la Suisse où les salaires sont très compétitifs par rapport à la France, l’établissement Éveil peinait à recruter des vacataires avant Hublo. Pour combler les absences, Paul Bouet, directeur adjoint de l’établissement, devait alors compter sur l’intérim ou sur son propre personnel, déjà très sollicité.
Selon M. Bouet, ses employés “faisaient passer le bien-être des résidents avant le leur, en acceptant de venir travailler sur leur temps de repos même si ça ne les arrangeait pas, car ils se sentaient obligés.” Une situation difficile à accepter pour le directeur adjoint de l’établissement, qui faisait ainsi également régulièrement appel à l’intérim pour soulager ses équipes.
Une solution de secours que le directeur adjoint ne souhaitait pas voir perdurer, d'une part à cause de son coût élevé, et d'autre part car il entendait privilégier un système favorisant la fidélisation des vacataires car "certains jeunes angoissaient à l’idée de ne jamais connaître ceux qui allaient s’occuper d’eux.”
M. Bouet considère qu'Hublo améliore la prise en charge éducative et le bien-être des résidents : “Aujourd’hui, ces angoisses ont disparu : on sait qui vient, et que le travail sera bien fait. Nos vacataires sont d’autant plus motivés qu’ils savent que s’ils ne travaillent pas bien, on ne refera pas appel à eux.”
Dès la mise en place de Hublo au sein de l’établissement Éveil, M. Bouet a été frappé par le nombre de professionnels désireux de rejoindre son vivier de remplaçants : “Dès les premiers jours, de nombreux professionnels ont candidaté sur Hublo pour nous rejoindre ! On a rapidement recruté une cinquantaine de vacataires, dont 7 que nous avons réussi à fidéliser : ils effectuent presque toutes nos missions à eux seuls.”
Le personnel est quant à lui ravi de l’utilisation de Hublo : “Cet outil améliore aussi leur qualité de vie au travail” explique M. Bouet, “puisque les vacataires venant de Hublo veulent revenir chez nous, donc ils cherchent davantage à s’intégrer. Et quand ça ne se passe pas bien, notre personnel peut nous l’indiquer et on ne refait plus appel à la personne. Tandis qu’avec l’intérim, on est parfois pris à la gorge et on n’a pas vraiment le choix.”