Désireux de simplifier le quotidien de l’encadrement tout en assurant au mieux la continuité des soins, le GHR a choisi Hublo pour diffuser ses besoins de remplacements auprès de ses 2175 agents inscrits. Pour Patrice Belloy, cadre supérieur à la direction des ressources humaines du GHR, Hublo constitue “une solution dynamique pour pallier l’absentéisme de courte durée, mais aussi le manque de personnel dû aux postes vacants.”
Depuis la mise en place de Hublo, M. Belloy constate “une diminution du stress chez nos cadres” car “à partir du moment où ils postent leurs offres de missions, ils n’ont plus qu’à attendre que les agents postulent : ils gagnent du temps et ils sont plus sereins.”
Grâce à la simplicité du fonctionnement de Hublo, le personnel du GHR se positionne lui-même sur les 80 000 heures de missions proposées chaque année sur la plateforme, comme l’explique M. Belloy : “Nos agents sont contents de pouvoir faire des heures sup’. On a même ce qu’on appelle des “hublophiles” : des agents qui effectuent chaque mois entre 20h et 30h de missions par mois -dans le respect du temps de travail et de repos.”
Au-delà du gain financier, ces professionnels sont également attirés par la découverte d’autres services. Cette mobilité présente l’avantage selon M. Belloy de permettre “un décloisonnement professionnel qui augmente la polyvalence.”
Avec une moyenne de 6 700 heures de missions réalisées chaque mois via Hublo, les ressources humaines du GHR doivent gérer de nombreux flux de paiement. Mais grâce à l’interface disponible entre son GTA et Hublo, cette tâche est grandement simplifiée selon Patrice Belloy : “Cette interface permet de faire directement remonter les missions Hublo dans nos plannings, et donc de les inclure dans le calcul de paie à la fin du mois : ça nous fait gagner du temps et ça permet de sécuriser les données.”
En effet, comme l’explique M. Belloy : “le fait de diminuer les intervenants entre la création de mission et la paie permet de diminuer les erreurs.” Grâce à cette interface, M. Belloy estime que le GHR “gagne en qualité au niveau des ressources humaines, aussi bien que dans les services.”